Le feu dans la ville : Marie-Josèphe Angélique et l’histoire de la paysagiste urbaine

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Est-ce que vous connaissez l’histoire? Qui incendiait la ville de Montréal dans le 1734? L’esclave noire de madame Francheville, Marie-Josèphe Angélique? Son amant blanc, Claude Thibault? Ou quelqu’un d’autre, par l’accident ou le dessein? Il est probable que nous ne connaîtrons jamais la réponse à cette question, mais avec l’histoire d’Angélique, nous pouvons apprendre quelque chose sur l’histoire de l’environnement urbain, le feu, et la ville de Montréal au XVIIIe siècle.

La ville de Montréal a beaucoup des esclaves au XVIIIe siècle surtout comme des domestiques. Marie-Josèphe Angélique habitait avec ses esclavagistes les Francheville, et elle fait tentative d’évasion avec son amant blanc, Thibault, dans le février 1734. Déçus par les réalités de l’hiver québécois, ils étaient captures: Thibault était emprisonné, et Angélique était vendue. Avant elle était transférée à ses nouveaux esclavagistes, et après Thibault était libéré, sur le 10 avril 1734 la maison de Francheville a s’enflammer et Angélique était vu en fuite de la scène.

Dans une ville comme Montréal au XVIIIe siècle, le feu propageait rapidement, et beaucoup de la ville était détruit : dans les prochaines heures, des 46 bâtiments disparaissaient, le district du commerce sur la rue St-Paul et l’hôpital et le couvent Hôtel-Dieu inclus. Tout à coup, la ville était changée radicalement. Le Vieux-Montréal, le centre historique, social, et économique de la ville était vraiment vulnérable au feu à cause de la paysagiste urbaine : des maisons en bois, serrés les uns contre les autres, des rues étroite, pleine du déchet et des animaux, et ainsi de suite. Malgré cela, la ville était reconstruire de la même manière parce que c’est ce que une ville ressembler au XVIIIe siècle, et contrairement à la ville de Chicago après le feu de 1871, Montréal n’utilisait pas cette catastrophe comme une occasion pour le développement urbain, peut-être à cause d’un manque d’une population grand et d’autres matériaux de la construction.

Une ville avec une autre paysagiste urbaine aurait brûlé différemment.

Firebrand Theatre (www.firebrandtheatre.com) est une troupe de théâtre qui cherche à animer des étudiants en donnant vie aux histoires du passé avec des pièces comme « La flamme se propage, » qui suit l’histoire controversée de Marie-Josèphe Angélique. Dans des écoles de la ville de Montréal ce février passé, le mois de l’histoire des Noires, la troupe a joué « La flamme se propage » avec cette description :

« La pièce, écrite par Beau Dixon, raconte l’histoire de Marie-Josèphe Angélique. C’est une esclave de 29 ans qui a été accusée de porter feu au quartier du Vieux-Montréal en 1734. C’est une pièce qui examine la lutte inébranlable d’une femme qui veut sa libération. Le témoignage de Marie-Josèphe Angélique est un des premiers enregistré et raconté au Canada. Cette pièce est basée sur ce témoignage.

Nous vous offrons l’opportunité de montrer ce spectacle à des jeunes. Nous passerons une heure avec eux, abordant les sujets délicats du racisme et de l’esclavage au Canada. Une fois la pièce terminée, nous passerons le temps qu’il faut pour répondre aux questions des étudiants. Nous croyons fermement que notre histoire a pour but non seulement d’instruire, mais aussi de donner la chance d’une réflexion personnelle. Votre école recevra un guide d’information sur la pièce en plus de diverses activités à faire avec vos élèves. « La flamme se propage » sera présentée en anglais et en français. Notre public cible est les élèves de la 5e à la 11e année. »

Où est la paysagiste urbaine dans cette pièce? Où est la paysagiste urbaine dans cette histoire?

Pour beaucoup d’information sur Marie-Josèphe Angélique, visitez le site web pour Les grands mystères de l’histoire canadienne, http://canadianmysteries.ca/fr/index.php, et le site web pour le mystère d’Angélique, http://www.canadianmysteries.ca/sites/angelique/indexfr.html

Écoutez à la représentation de « La flamme se propage » ici :

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I am a Senior Lecturer in North American History at Leeds Beckett University. My research interests are in transnational environmental health and contamination, and I always seek to blend historical research with public engagement. My monograph, A Town Called Asbestos: Environmental Change, Health, and Resilience in a Resource Community was published by UBC Press in 2016.

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