Maîtres Chez…Où?? Jean Charest et son « Plan Nord »

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Ah! L’histoire, toujours il se répète, et la situation du Québec et le Plan Nord de Premier ministre Jean Charest n’est pas une exception.

Avec l’histoire du Parti Libéral du Québec comme un insigne du mérite, Charest annoncé son plan pour le développement du Nord :

*25 ans, ou une génération complète
*80 G$
*20 000 emplois par année
*des revenus de 14 G$ par année pour le gouvernement et la société québécoise
*l’améliorera des conditions de vie des populations nordiques
*beaucoup des avantages pour la province deviendra une force économique du monde
*il couvre près de 1,2 million de km 2, ce qui représente 72 % de la superficie du Québec
*près de 500 000 lacs et de milliers de rivières seront affecté
*plus de 200 000 km 2 de forêts commerciales, ce qui représente plus de 53 % des forêts exploitables au Québec
*le nickel, le cobalt, le zinc, le minerai de fer et ilménite, et l’or!

Avec son ambition de battre Jean Lesage et Robert Bourassa dans le jeu de développement environnemental énorme. L’élection provinciale de 1962 lancement le plan célèbre de « Maîtres chez nous. » Lesage et son Ministre des Richesses naturelles, René Lévesque, établissaient Hydro-Québec, et l’exploitation des ressources naturelles, comme une institution dans la province. Au début des années 1970, Robert Bourassa annoncé le projet hydroélectrique de la Baie-James, encore une fois pour l’avantage d’Hydro-Québec. Mais le mode de comportement de Premiers ministres Libéraux devinait avec Lormer Gouin en 1912 avec l’annexion de l’Ungava dans le premier « Plan Nord. »

Le Nord et l’environnement, toujours une passion pour de Premiers ministres Libéraux, et Charest utilise l’histoire pour soutenir son plan :

Le Plan Nord, la « grande aventure à dimension humaine, », mais est-il le plan « Maîtres chez nous » encore avec le même risque à l’environnement? Des ressemblances entre les deux sont saisissantes, et des rapports M. Charest fait entre les deux est aussi. Mais M. Charest est un environnementaliste, non? Oh oui. L’énergie solaire, l’énergie éolienne, le renfermer des ressources fauniques exceptionnelles, la conservation et le développement durable sont ici, oui, aussi qu’un réseau d’aires protégées d’au moins 12 % de la superficie couverte par le Plan Nord à 2015. En plus, 50 % du territoire du Plan Nord protégera et à la sauvegardera de la biodiversité… après la fin du plan dans une génération, bien sûr.

Mais l’environnement, le Nord, n’est pas une réserve, non? M. Charest oublie que l’histoire donne des leçons aussi : la contamination environnementale, des maladies industrielles, des villes emballement-effondrement, la destruction de l’habitat naturel de la faune et la flore, etc. Le Plan Nord est ambitieux, oui, mais est-il une ambition sourde et ahistorique?

 

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I am a Senior Lecturer in North American History at Leeds Beckett University. My research interests are in transnational environmental health and contamination, and I always seek to blend historical research with public engagement. My monograph, A Town Called Asbestos: Environmental Change, Health, and Resilience in a Resource Community was published by UBC Press in 2016.

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